L’impact de la nutrition sur la fertilité

Quel est le lien entre nutrition et fertilité ?

C’est un facteur souvent peu connu. Une nutrition inadéquate serait un facteur d’infertilité dans 46% des cas (beaucoup plus que d’autres facteurs comme la masse corporelle ou l’activité physique) [1],[2].

 

De même, un apport alimentaire en acides gras oméga-3 polyinsaturés, en acide alpha-linolénique et en acide docosahexaénoïque (DHA) aurait une incidence positive sur les femmes ayant subi une FIV/ICSI [3] .

 

Une étude a également pu mettre en évidence que les couples qui mangeaient plus de produits de la mer tombaient enceintes plus tôt que ceux qui n’en mangeaient que rarement [4].

Quelle importance de la nutrition pour l’équilibre hormonal ?

Tout ce qui nous compose, y compris les hormones, est constitué d’éléments que nous mangeons et absorbons. L’alimentation est donc la matière première de nos hormones et est essentielle pour notre équilibre hormonal.

 

Par ailleurs, l’alimentation nous apporte les vitamines, minéraux et phytonutriments qui constituent le "fuel" de toutes les réactions chimiques réalisées chaque seconde dans notre organisme, dont les réactions nécessaires au cycle menstruel et à la fertilité.

 

Enfin, qui dit équilibre hormonal dit souvent libido en bonne santé (une libido en berne est souvent le symptôme d’un dérèglement), ce qui aide quand on veut tomber enceinte !

 

Comment optimiser concrètement son équilibre hormonal ?
On commence par éviter les aliments inflammatoires, on fait le plein de nutriments et on soigne son foie !

 

Éviter le sucre raffiné
 

Que ce soit sous forme de sucreries, pâtisseries, sodas, céréales raffinées… En déréglant la glycémie, le sucre raffiné crée de l’inflammation qui est le terreau des dérèglements hormonaux.


Consommer du riz complet et des pommes de terre qui contiennent surtout du glucose et peu de fructose. Le glucose aurait moins d’effet sur la résistance à l’insuline que le fructose.
 

La consommation de boissons sucrées (notamment sodas) a été associée à une fertilité moindre chez les hommes et les femmes [5].

 

Éviter les aliments industriels
 

Ils contiennent souvent des additifs, perturbateurs endocriniens, graisses hydrogénées et sucre raffiné qui contribuent aux dérèglements hormonaux, et sont souvent assez pauvres en micronutriments (vitamines, minéraux, phytonutriments) dont on a besoin pour booster la fertilité et la santé de manière générale.

 

Eviter l’alcool, inflammatoire comme le sucre
 

Il impacte négativement le foie qui est un organe clé dans l’équilibre hormonal, augmente l’oestrogène en circulation (un verre d’alcool peut augmenter la quantité d’œstrogènes en circulation de 10% !), empêche l’absorption des vitamines du groupe B qui sont essentielles à l’équilibre de l’oestrogène et de la progestérone… et est problématique pour le bébé. Sans compter que l’alcool, c’est du pur sucre. Par ailleurs, la consommation d’alcool entraîne moins d’ovocytes, des ovocytes de moins bonne qualité, un taux de fécondation moins élevé, du sperme et des spermatozoïdes de moins bonne qualité, un risque de fausse couche accru…

 

Éviter les gros poissons
 

Éviter les gros poissons (thon par exemple) et autres sources d’exposition aux métaux lourds qui peuvent dérégler les hormones et compromettre la fertilité.

 

Manger bio au maximum
 

Pour éviter les pesticides de synthèse qui se comportent comme des perturbateurs endocriniens et pour maximiser la teneur des aliments en micronutriments.
Plus les ingrédients sont qualitatifs, plus ils sont riches en micronutriments, et moins ils s’accompagnent de substances potentiellement nocives. C’est particulièrement le cas des produits animaux qu’il est important de choisir de qualité.

 

Faire la part belle aux fruits et aux légumes
 

On favorise les fruits et légumes les plus colorés. Ce sont les antioxydants qui sont responsables de la couleur dans les végétaux. Or les antioxydants apaisent l’inflammation. Par exemple, mangez plutôt un oignon rouge qu’un oignon blanc.

 

Une étude de 2018 a pu mettre en évidence qu’un changement de régime alimentaire avec davantage de fruits et de légumes, de légumineuses, pauvre en viande rouge, pourrait augmenter les chances de tomber enceinte et de donner naissance à un bébé après un traitement de PMA. Parmi les femmes de moins de 35 ans, une augmentation de 5 points de leur alimentation vers un régime méditerannéen (“MedDietScore”) était associée à une augmentation de 2.7 fois de tomber enceinte et d’accoucher d’un bébé en bonne santé [6].

Une étude sur 5628 femmes avec des grossesses à bas risque a montré que celles qui consommaient beaucoup de nourritures type “fast food” et peu de fruits mettaient plus longtemps en moyenne à tomber enceinte que celles avec des régimes équilibrés [7].  Les femmes qui ne mangeaient pas de fastfood réduisaient ainsi leur risque d’infertilité de 41% (p< 0.001).

 

Consommer des légumes verts à feuilles une fois par jour
 

Les légumes verts sont très alcalinisant et régulent la glycémie. Ils contiennent des quantités importantes de magnésium, potassium, bioflavonoïdes, folates, fibres, phytonutriments… des nutriments tous essentiels à l’équilibre hormonal et à la fertilité. 


Les légumes de la famille des brassicacées comme le chou, chou de bruxelles, brocoli contiennent de l’indole 3 carbinol qui favorise les métabolites oestrogéniques bénéfiques plutôt que les toxiques.

 

Consommer des légumes amers
 

Ils stimulent le foie. En fabriquant plus de bile, le foie est soutenu dans ses fonctions de détoxification, essentielles au métabolisme des hormones et donc à l’équilibre hormonal, et par conséquent à favoriser la fertilité.

 

Boire de l’eau
 

Boire 1,5 à 2L d’eau par jour pour éviter la déshydratation et favoriser l’élimination.

 

Ne pas avoir peur des bons gras, notamment les oméga 3 !
 

Les bons gras sont la matière première pour la production d’hormones sexuelles notamment. Ils réduisent l’inflammation et favorisent l’équilibre hormonal. Par ailleurs, ils sont importants pour la qualité des ovules, la morphologie de l’embryon et le développement du système nerveux central chez l’enfant.

 

On en trouve dans les petits poissons gras, les avocats, l’huile d’olive, les graines, les oléagineux…

 

Avoir un apport suffisant en iode
 

L’iode joue un rôle primordial dans la fertilité puisqu’elle protège les ovaires et est essentielle à la fonction de la thyroïde, elle-même cruciale pour la fertilité, l’implantation, le développement cérébral du bébé. Attention : trop d’iode peut être responsable de dérèglements de la thyroïde tout comme pas assez, donc n’allez pas vous complémenter sans le conseil d’un professionnel de santé. Cependant, n’hésitez pas à inclure des produits de la mer dans votre alimentation, comme par exemple des petits poissons gras et des algues.

 

Assurer un taux adéquat de zinc
 

Essentiel à la qualité des ovules, l’équilibre hormonal, la fonction hépatique, la neuroplasticité, la mémoire et les capacités d’apprentissage chez l’enfant. 
 

On en trouve dans les fruits de mer, la viande, les graines de courge…

 

Ne pas oublier le magnésium
 

Le magnésium joue un rôle primordial dans l’équilibre hormonal puisqu’il est essentiel au fonctionnement du foie et permet de réguler nos hormones : progestérone, œstrogène et testostérone. Il régule aussi le cortisol, l’hormone du stress, comme le cholestérol, qui a une action sur les hormones reproductrices. Il est également important pour les glandes surrénales et la régulation de la glycémie/métabolisme. 


Au-delà du fait que la teneur en magnésium de nos aliments a drastiquement chuté par rapport à quelques décennies, la plupart des personnes ne consomme pas assez d’aliments riches en magnésium, et beaucoup d’éléments peuvent épuiser nos réserves comme le stress, l’exposition aux métaux lourds, la consommation de sodas ou produits raffinés/industriels, la sudation, la consommation de sucre (nous avons besoin de 54 molécules de magnésium pour métaboliser 1 molécule de sucre)...

 

Faites le plein de magnésium avec nos brownies ! Enfin une façon gourmande pour faire le plein de magnésium grâce à ce complément alimentaire façon brownie.
Ultra pratique avec son format en bouchées, chacune couvre 45% de vos besoins journaliers, sous une forme glycérophosphate de magnésium hautement absorbée par l’organisme.

 

Stabiliser la glycémie 
 

La glycémie est la pierre angulaire de notre équilibre hormonal. Quelques astuces pour la stabiliser:
Favoriser une alimentation à indice glycémique bas
Privilégier des cuissons douces comme la vapeur ou en manger plus de cru (la cuisson contribue à augmenter la glycémie)
Consommer des aliments riches en fibres qui ralentissent la libération de sucre dans le sang (légumes, légumineuses, oléagineux, fruits entiers, céréales complètes...)
Consommer des protéines et des bons gras à chaque repas (qui participent au maintien de la glycémie)
Éviter de grignoter à longueur de journée
S’activer : une activité physique douce comme la marche par exemple permet de réguler la glycémie

Quel lien entre nutrition et glaire cervicale ?

Une nutrition adéquate va permettre d’améliorer la qualité et la quantité de la glaire cervicale, qui est cruciale pour tomber enceinte. En effet, sans glaires cervicales de qualité, le système reproducteur féminin est hostile aux spermatozoïdes qui ne peuvent pas survivre dans un tel environnement.

 

De manière générale, une glaire cervicale de qualité est le reflet de l’équilibre hormonal avec notamment une production suffisante d’oestrogène qui en favorise la production. Tous les conseils cités précédemment seront donc favorables à cet aspect, mais voici quelques éléments bonus.

La vitamine C

La vitamine C améliore (entre autre !) la production de la glaire cervicale
Source de vitamine C : agrumes, légumes verts, poivron, fruits rouges, melon, tomate, brocoli, pomme de terre, persil, kiwi…

Les oméga 3

Les oméga 3 augmentent la glaire cervicale.

Quel lien entre nutrition et qualité des ovules ?

e’ovule du cycle actuel est le reflet de notre santé d’il y a 3 mois. Il faut environ une centaine de jours au follicule dominant pour arriver à l’ovulation. Sa santé dépend donc de ce qui s’est passé dans cette période assez longue. Il en va de même chez les hommes : les spermatozoïdes relâchés aujourd’hui ont été formés durant les 3 mois précédent environs.


Une bonne nutrition va améliorer la qualité des ovules en les protégeant des polluants, et en contribuant à la fluidité de leur membrane permettant la fécondation, et la qualité des spermatozoïdes en favorisant une bonne motilité et une morphologie sans défaut. 

Les bons gras

Les lipides jouent un rôle très important dans la composition et la fluidité des membranes des ovocytes (qui permettent plus facilement la pénétration des spermatozoïdes dans l’ovule). Les oméga 3 constituent les membranes de toutes les cellules du corps.
 

Mais attention, tous les lipides ne se valent pas ! Une forte consommation de graisses saturées diminue le nombre d’ovocytes matures, tout comme une forte consommation de graisses polyinsaturées peut impacter la qualité des embryons [8].


En revanche, une consommation importante d’acide mono saturés seraient bénéfiques. Une étude a pu mettre ainsi en évide qu’obtenir 2% de son apport calorique via des graisses saturées au lieu de graisses mono saturés était associé avec un risque doublé de ne pas ovuler [8].

 

Sources de bon gras :

Huiles végétales de première pression à froid (comme le lin, la cameline ou le chanvre) - La cameline se place juste derrière l’huile de lin pour sa teneur en oméga 3 ! Attention à la conservation des huiles particulièrement fragiles comme l’huile de lin : conservez-là au frigo car la température ambiante et la luminosité naturelle peuvent rapidement oxyder les acides gras et les rendre néfastes. 

Les petits poissons gras (comme les sardines ou les maquereaux, moins contaminés par les métaux lourds que les saumons) et huile de schizochytrium (ou nos carrés pré et post natal, 200 mg de DHA par carré)

Graines (lin, chia, courge)

La vitamine C

Elle améliore la qualité des ovules comme des spermatozoïdes et favorise l’élimination des métaux lourds (donc protège nos gamètes). Chez l’homme : améliore la qualité du sperme, la mobilité des spermatozoïdes
Source de vitamine C : agrumes, légumes verts, poivron, fruits rouges, melon, tomate, brocoli, pomme de terre, persil, kiwi…

La vitamine D

Elle améliore la qualité des ovules comme des spermatozoïdes, la fonction ovarienne, le développement des follicules.

Sources : la chair des poissons gras, les huiles de foie, les oeufs et les produits laitiers.

Le sélénium

Il aide à éliminer les métaux lourds tels que le mercure et le plomb (redoutables pour les spermatozoïdes et les ovules) et préserve la fertilité par son rôle anti-oxydant.
Sources : Un peu partout. 1 noix du brésil par jour suffit pour couvrir vos besoins journaliers.

Le zinc

Il améliore la qualité des ovules. Chez l’homme, le zinc favorise notamment la solidité de la tête du spermatozoïde afin de favoriser sa pénétration dans l’ovule
Sources : Les meilleures sources de zinc (fruits de mer, foie, légumes secs, céréales complètes comme les lentilles) ne sont pas consommées couramment. 
Attention si complémentation : ne pas se complémenter en zinc sur le long terme car ça peut générer des carences en cuivre. De manière générale : ne pas s’auto-supplémenter et se faire conseiller par un praticien de santé.

BABY BUMP, notre complément multivitamine pour la période de conception et de grossesse, est riche en bons gras (DHA), en vitamine D, en sélénium et en zinc !

Quelle importance de la nutrition pour l’ovulation ?

La nutrition agit à chaque étape de la conception, notamment pour l’ovulation.

Les protéines

Le rôle d’une consommation des protéines sur la fertilité et l’ovulation est encore peu connu. Cependant il a été largement démontré que la consommation de protéines a été associée avec une dérégulation de la stéroïdogenèse chez les femmes affectées par le SOPK, probablement en réduisant l’hyperinsulinémie.

 

Une étude a montré que chez des femmes en bonne santé, un régime alimentaire riche en protéines, notamment des protéines animales, a été significativement associé avec des taux plus bas de testostérone, mettant en évidence un lien possible en consommation de protéines et synthèse des androgènes [9].

 

De plus, une consommation basse de protéines a été associée avec un risque plus important de problèmes d’ovulation. Cette relation est statistiquement significative chez les femmes de 32 ans ou plus, sans que les mécanismes derrière ne soient encore compris [10].

 

Enfin, la consommation de protéines favorise l’apport en acides aminés cruciaux pour le métabolisme des hormones et la fertilité (choline, méthionine…) et la régulation de la glycémie qui permet d’apaiser l’inflammation et ainsi de réguler les hormones. 

Stabiliser la glycémie

Dans une étude sur 17,544 femmes, les chercheurs ont pu mettre en évidence un lien entre une consommation chronique de sucres et troubles de l’ovulation [11].

 

Une charge glycémique élevée, associée à de l’insulino-résistance, responsable d’une plus grande production d’IGF-1 (de l’anglais insulin-like growth factor-1) et d’androgène, entraineraient des défauts de maturation des ovocytes [12] et contribue largement au SOPK qui peut entraîner une absence d’ovulation ou des délais d’ovulation ainsi que des aménorrhées.

Oméga 3 et DHA

Une consommation de DHA chez les femmes a été associée avec un risque moindre d’absence d’ovulation [13].

Magnésium

Une étude de l’université de Cambridge a montré le lien entre la consommation de minéraux comme le magnésium avec le risque de non ovulation.

Pour faire le plein de protéines, optez pour VANILLA MAMA. La poudre à la vanille qui apporte 3g de collagène. Elle est également riche en choline, un nutriment essentiel pour le bon développement du bébé. 

Comment soutenir la production de progestérone ?

Après l’ovulation (phase lutéale), le follicule se transforme en corps jaune qui sécrète de la progestérone. 
La progestérone a pour rôle de maintenir la muqueuse utérine destinée à accueillir l’embryon lors de la nidation. 
Si on ne produit pas assez de progestérone, l’ovule n’a pas assez de temps pour se frayer un chemin et s’implanter. 
Des cycles trop courts ont pour conséquence un manque de progestérone, ce qui rend difficile le maintien d’une grossesse. L’insuffisance de progestérone est souvent responsable de fausses couches. 

Oméga 3

Une consommation d’oméga 3 polyinsaturés marins a été associée avec une phase lutéale plus importante [14], entraînant une concentration plus élevée de progestérone, suggérant les bienfaits de consommer des produits de la mer sur l’ovulation et le cycle menstruel en général.

Magnésium

Sous l’effet du stress, l’hypothalamus réduit ses signaux envoyés aux glandes surrénales, qui en retour, réduisent la production de FSH et LH, les deux hormones qui entraînent l’ovulation. On a donc un cercle vicieux qui se met en place. Le stress peut aussi jouer dans un manque de progestérone.
Le magnésium joue un rôle vital dans l’équilibre hormonal, et permet de produire nos hormones progestérone, œstrogène et testostérone. Il régule aussi le cortisol, l’hormone du stress. Enfin, il aide le foie à réguler l’oestrogène qui, quand il est présent en excès, peut entraîner une insuffisance relative de progestérone.

Vitamine B6 et vitamine C

Elles participent à la production de progestérone [14]. 

Notre complément prénatal BABY BUMP est riche en DHA mais aussi en vitamine B6.

Le lien entre nutrition et nidation

Une bonne nutrition va permettre d’augmenter l’apport de sang, d’oxygène et de nutriments à l’endomètre, et de favoriser la reconstruction des tissus de l’endomètre.

 

Une multitude de nutriments sont essentiels à l’implantation : vitamines B12, E, D, B9, et des minéraux comme le cuivre, l’iode, le sélénium ou encore le zinc.

 

Un ratio élevé de prostacyclin/thromboxane entraîné par les oméga 3 peut augmenter les chances de grossesse chez les femmes avec des problèmes d’infertilité en augmentant le débit sanguin vers l’utérus [15].

L’importance de la nutrition en début de grossesse

Dès le début de la grossesse, de multiples nutriments sont requis à la fois pour le développement, la santé et les fonctions du placenta comme les vitamines B, C, D, E et les minéraux cuivre, fer, sélénium, zinc, et pour le développement du bébé (morphogenèse, organogenèse, développement du système nerveux, composition des os et des tissus…) comme par exemple les vitamines A, B, D, E et les minéraux cuivre, fer, zinc, iode…  

 

La grossesse, dès le premier jour, est donc un processus très demandeur en micronutriments. Il est par ailleurs essentiel d’avoir un apport adéquat car le corps favorisera toujours la santé du bébé à celle de la mère. Par conséquent, si des insuffisances ou carences sont présentes, la mère peut se voire “vidée” de ses nutriments et terminer la grossesse avec un statut nutritionnel très pauvre [16], ce qui ne favorisera pas un postpartum doux ainsi que la production de lait. 

Oméga 3 et DHA

Deux études séparées sur des femmes rencontrant des problèmes d’infertilité ont montré que les mesures sur la qualité des embryons était améliorée chez les femmes qui consommaient plus de poisson [17] et plus de DHA [18], soutenant l’hypothèse que la DHA jouerait un rôle favorable dans le début de la grossesse.

Vitamine C

L’effet positif d’un apport régulier en acide ascorbique a été largement décrit dans la littérature scientifique. Il a même été démontré que sa consommation pendant la grossesse pouvait stimuler la stéroïdogenèse placentaire/trophoblastique, processus physiologique qui soutient la gestation [19].


Il a également été rapporté que chez les femmes présentant des avortements spontanés à répétition en raison d’un défaut de la phase lutéale, les niveaux sanguins de cet antioxydant étaient plus faibles que chez les femmes présentant de meilleurs résultats en matière de procréation [20].

Le nutriment clé de la conception et grossesse : la vitamine B9

Les folates, ou vitamine B9, jouent un rôle essentiel dans la synthèse de l’ADN, la méthylation (transfert d’un groupe méthyle à une autre molécule) et la synthèse des protéines. Une carence en folates peut altérer ce processus de méthylation et entraîner une accumulation d’homocystéine, provoquant ainsi des réactions excessives de stress oxydatif.

 

Une carence en vitamine B9 pourrait également constituer un facteur possible de fausses couches récurrentes.
Chez les femmes qui envisagent une grossesse, une supplémentation systématique en acide folique est recommandée 4 semaines avant la conception et jusqu’à 8 semaines après, avec une dose recommandée de 400 ug par jour [21].

 

De plus, une complémentation avec de l’acide folique a été associée à un embryon de meilleure qualité, des chances plus élevées de tomber enceinte, et un risque réduit de ne pas ovuler [22].

L’importance de la vitamine B9 pour concevoir

Tiina Murto et ses collègues ont évalué les différents facteurs affectant les femmes qui suivent des traitements pour des FIV  [23]. Ils ont constaté que les hormones n’étaient pas un bon prédicteur de naissance vivante à long terme chez les femmes souffrant d'infertilité inexpliquée. L'âge des femmes s'est avéré avoir la meilleure valeur prédictive (77%) pour une future naissance vivante. Les résultats ont montré que le folate plasmatique était un meilleur prédicteur de l'issue de la grossesse après un traitement contre l'infertilité (valeur prédictive de 73%) que les hormones.

 

Mais ils ont constaté aussi que les femmes infertiles utilisaient beaucoup plus de suppléments d'acide folique, avec 400 à 500 µg/jour, et avaient un apport alimentaire en folates plus élevé que les femmes fertiles, ce qui a été perçu comme un meilleur statut en folates chez les femmes infertiles.

 

Ces études comportent cependant plusieurs limites. Le statut sanguin en folates est inférieur aux déclarations faites dans les questionnaires sur la prise de folates, ce qui limite la fiabilité avec un risque de surestimation des déclarations. Par ailleurs, l'effet des facteurs socio-économiques et du mode de vie sur l'utilisation de suppléments d'acide folique chez les femmes infertiles n'a pas été bien étudié.

Acide folique ou folate méthylé (méthylfolate / 5-MTHF)

Toutefois, l’effet réel des folates sur le résultat de la grossesse par FIV a été difficile à établir. Le polymorphisme MTHFR 677T-T (l’acide folique ne sera pas transformé en forme active), présent chez environ 15% des femmes, est la variation génétique la plus courante qui a été mise en relation avec le statut en folates, avec une diminution des folates sériques et une augmentation des niveaux d'homocystéine plasmatique. Il a été démontré que le génotype MTHFR 677T-T est un facteur de risque en ce qui concerne l'avortement spontané, la prééclampsie et le décollement placentaire. Il a également été démontré que l'une des variations génétiques du gène MTHFR était associée à une issue positive de la grossesse par FIV.

 

Par conséquent, les résultats suggèrent que le folate pourrait avoir un rôle non négligeable dans le contexte de l'issue de la grossesse, mais que d'autres variables du métabolisme du folate, notamment une variation génétique, pourraient avoir un rôle plus central. Il serait donc utile d'étudier le génotype des femmes souffrant d’infertilité, ou alors d’utiliser directement des suppléments avec la forme active des folates, le 5-méthyltétrahydrofolate.

 

D’autre part, chez les femmes porteuses du variant MTHFR 677C-T, comme l’acide folique ne sera pas transformé en forme active et va entraîner un blocage du cycle des folates, les études ont démontré l’effet bénéfique d’un apport en un donneur de méthyle (vitamines B2, B6, B9 sous forme active et B12) chez les couples sub fertiles ayant échoué dans leurs tentatives de PMA précédentes [23].

Attention aux perturbateurs endocriniens

Des études sur les animaux ont démontré qu’un apport approprié en donneurs de méthyle pouvait réduire les effets des perturbateurs endocriniens environnementaux. Les perturbateurs endocriniens sont des composants généralement présents dans les cosmétiques et produits d’entretien. Ils perturbent les profils de méthylation, comme la méthylation de l’homocystéine par les folates. Dans des modèles animaux, il a été observé que les produits plastiques tels que le bisphénol A (BPA), le phtalate de di-2-éthylhexyle (DEHP) et le phtalate de dibutyle (DBP) induisaient des pathologies reproductives et métaboliques transmises sur plusieurs générations. Des études épidémiologiques sur l’homme ont récemment mis en évidence la présence de BPA, de parabènes et d’autres polluants organiques dans l’urine ou le sérum de femmes ayant des difficultés à concevoir et/ou atteintes de ménopause précoce. Des expériences sur des souris ont montré que les compléments en donneurs de méthyle rétablissaient l’expression des gènes et contrecarraient les effets du BPA [24]. Les donneurs de méthyles sont impliqués dans les processus de méthylation. Ils recyclent l’homocystéine et génèrent des antioxydants capables de moduler les paramètres liés aux gènes en lien avec les vitamines B2 et B3. Dans une étude clinique récente, ils ont démontré l’efficacité des compléments en donneur de méthyle contre les effets négatifs de l’environnement chez les couples sub fertiles [25]. En effet, un groupe de 55 femmes stériles depuis trois à sept ans, présentant de faibles concentrations sériques d’AMH et ayant subi au moins deux échecs de PMA, ont suivi un traitement à base de compléments en donneur de méthyle pendant quatre mois. De manière surprenante, ils ont observé huit conceptions spontanées dans les trois mois. Par conséquent, comme cela a été observé dans des modèles animaux, un apport nutritionnel adéquat en donneur de méthyle peut, au moins en partie, contrer les dérèglements métaboliques environnementaux en cause dans l’infertilité ovarienne.

BABY BUMP apporte 400ug de vitamine B9 sous forme méthylée, en plus de couvrir tous les besoins en nutriments essentiels pour préparer son corps à la future grossesse.

 

Vous souhaitez une alternative à l'acide folique ? Optez pour nos gummies LEMON FOLATES, sans sucres à la fraise, qui apportent également 500ug de vitamine B9 sous forme méthylée.
 

En résumé : les conseils pour une nutrition optimale


- Manger bio au maximum
- Eviter l’alcool, le sucre et les produits industriels/raffinés
- Manger une variété de fruits et légumes au quotidien pour bénéficier de leurs vitamines, minéraux et phytonutriments dont nous avons besoin pour que la fertilité soit au rendez-vous
- Ne pas avoir peur des bons gras et prendre suffisamment d’omégas 3 (DHA)
- Manger des protéines de qualité à chaque repas
- Optimiser son microbiote pour mieux assimiler les nutriments et diminuer les toxines 
- Garder un poids de forme/bouger
- Trop peu ou trop de masse graisseuse peut contribuer à une sous-sécrétion ou sur-sécrétion d’oestrogène, à l’aménorrhée (absence de règles), à une augmentation du risque de fausses couches ou de pré-éclampsie.
- Se supplémenter, notamment en B9, magnésium

 

Etant donné que nos sols s’appauvrissent en nutriments, que notre mode de vie participe à épuiser nos stocks en certains nutriments (le stress épuise le magnésium et les vitamines du groupe B, la pilule épuise le zinc, le magnésium et les vitamines du groupe B…), et qu’il est préférable de ne pas prendre de risque en préconception, se complémenter avant de concevoir un bébé est recommandé.

 

A minima, il est recommandé de prendre des compléments en vitamine B9 à hauteur de 400 microgrammes par jour pour éviter les malformations du tube neural chez l’enfant. Car on a remarqué qu’une insuffisance ou carence en vitamine B9 pouvait entraîner des malformations congénitales du cerveau, de la colonne vertébrale et/ou de la moelle épinière parmi lesquelles la fameuse spina bifida qui se forme d’ici le 28e jour de grossesse, autrement dit quand on ne sait pas encore que l’on est enceinte…

 

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NOS SOURCES

[1] The Influence of Diet on Fertility and the Implications for Public Health Nutrition in the United States
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2018.00211/full

[2] Chavarro JE, Rich-Edwards JW, Rosner BA, Willett WC. Diet and lifestyle in the prevention of ovulatory disorder infertility. Obstet Gynecol. (2007) 110:1050–8. doi: 10.1097/01.AOG.0000287293.25465.e1

[3] Hammiche F, Vujkovic M, Wijburg W, de Vries JH, Macklon NS, Laven JS, et al. Increased preconception omega-3 polyunsaturated fatty acid intake improves embryo morphology. Fertility Steril. (2011) 95:1820–3. doi: 10.1016/j.fertnstert.2010.11.021

[4] Audrey J Gaskins, Rajeshwari Sundaram, Germaine M Buck Louis, Jorge E Chavarro, Seafood Intake, Sexual Activity, and Time to Pregnancy, The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, Volume 103, Issue 7, July 2018, Pages 2680–2688, https://doi.org/10.1210/jc.2018-00385

[5] Hatch, Elizabeth E.a; Wesselink, Amelia K.a; Hahn, Kristen A.a; Michiel, James J.a; Mikkelsen, Ellen M.b; Sorensen, Henrik Toftb; Rothman, Kenneth J.a,c; Wise, Lauren A.a Intake of Sugar-sweetened Beverages and Fecundability in a North American Preconception Cohort, Epidemiology: May 2018 - Volume 29 - Issue 3 - p 369-378 doi: 10.1097/EDE.0000000000000812 10.1097/EDE.0000000000000812

[6] Dimitrios Karayiannis, Meropi D Kontogianni, Christina Mendorou, Minas Mastrominas, Nikos Yiannakouris, Adherence to the Mediterranean diet and IVF success rate among non-obese women attempting fertility, Human Reproduction, Volume 33, Issue 3, March 2018, Pages 494–502, https://doi.org/10.1093/humrep/dey003

[7] Jessica A Grieger, Luke E Grzeskowiak, Tina Bianco-Miotto, Tanja Jankovic-Karasoulos, Lisa J Moran, Rebecca L Wilson, Shalem Y Leemaqz, Lucilla Poston, Lesley McCowan, Louise C Kenny, Jenny Myers, James J Walker, Robert J Norman, Gus A Dekker, Claire T Roberts, Pre-pregnancy fast food and fruit intake is associated with time to pregnancy, Human Reproduction, Volume 33, Issue 6, June 2018, Pages 1063–1070, https://doi.org/10.1093/humrep/dey079

[8] Chavarro JE, Rich-Edwards JW, Rosner BA, Willett WC. Dietary fatty acid intakes and the risk of ovulatory infertility. Am J Clin Nutr. 2007 Jan;85(1):231-7. doi: 10.1093/ajcn/85.1.231. PMID: 17209201. 10.1093/ajcn/85.1.231

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Produits recommandés

POURQUOI CE PRODUIT ?

Opter pour les bons nutriments en période de conception va jouer un rôle majeur dans la fertilité. Notre complément Baby Bump contient notamment des folates, des vitamines B6, B12 et D avec des formes bio disponibles qui jouent tous un rôle dans les mécanismes susceptibles d'affecter la fertilité.
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Baby bump

Parce que la grossesse est une des périodes les plus exigeantes sur le plan nutritionnel, nous avons créé Baby bump, le complément alimentaire 3 en 1.

Il permet de couvrir à la fois les besoins de la future maman et ceux de son bébé, en combinant un complexe multivitamines grossesse (avec 14 nutriments sous forme bioactive), du DHA et de la choline. Baby bump couvre également l’apport journalier recommandé en vitamine B9. Le tout dans un pot en verre et avec un couvercle 100% recyclable.

Nouveau : recette améliorée avec 100% des apports en vitamine E et sans huile de lin !

Déconseillé aux personnes souffrant de troubles de la thyroïde (présence d'iode).

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FAQ

Quels sont les aliments qui facilitent la fécondité ?

Les aliments qui facilitent la fécondité sont notamment ceux qui contiennent des oméga 3, car ils entrent en jeu dans la composition des ovules notamment. Les aliments riches en zinc sont très importants car il va avoir un impact sur la fertilité et le développement embryonnaire. 

Comment stimuler la fertilité chez la femme ?

En situation de stress, même moindre, le corps privilégie la gestion du stress aux « affaires courantes » et peut ainsi inhiber ou amoindrir certaines fonctions comme la reproduction. Réduire le stress est loin d’être facile à mettre en place mais c’est absolument primordial pour booster la fertilité.

Quel fruit pour tomber enceinte ?

On favorise les fruits les plus colorés. Ce sont les antioxydants qui sont responsables de la couleur dans les végétaux. Or les antioxydants apaisent l’inflammation, ce qui peut augmenter les chances de grossesse.